martes, 22 de septiembre de 2009
Escuela Internacional de Cine, Cuba
Hola todos,
Une petite photo (après 1H de lutte acharnée avec la conexion ¨adsl¨ locale) de la plaine bordant l´école.
En attendant de voir vos furieux déhanchés de danseurs frénétiques de salsa...
Besos.
Vince
jueves, 16 de julio de 2009
Photo de vacances
lunes, 22 de junio de 2009
The Shape and Motion of a Ruck in a Rug
voila:
http://arxiv.org/abs/0906.4089
...
François
sábado, 23 de mayo de 2009
lunes, 4 de mayo de 2009
Companeros! Me voy a Cuba!
jueves, 30 de abril de 2009
martes, 17 de marzo de 2009
Les SoleilS sont-ils?
Imaginons Marseille:
Une vache en plastique zébrée (blanche et bleue), une énorme tour de verre (au moins 40 étages) en fin de construction, un port industriel glauque, des vraiment p'tits cafés très animés à tous les coins de rues, ces rues aussi vides que larges, une grande église désaffectée vaguement graphée de baleines multicolores étonnement dotées d'une dentition, des archives départementales ultra-contemporaines, des gens affamés qui fouillent une poubelle sur deux, la lune avant-gardiste dans un ciel azur, quelques 'jeunes' bien habillés qui 'dansent MTv' sur le parvis bien glissant des archives départementales, un soleil perdu derière la tour de verre, un vigil ventripotent, cette église engrillagée où la Nature essaye en vain de reprendre le dessus, du verre vert brisé sur le sol, des sièges blancs en cuire bien peu confortable et pourtant très stylisés, de la tôle ondulées, pléthore d'abrutis aux cheveux collés qui roulent comme des connards dans leur voiture reluisante dans quelques vagues boulevards épris de bourasques de vent violent, une exposition voyeuriste affichant les couleurs éclatantes de la virginité d'une societé enviée mais un peu méprisée d'humains des bois amazoniens, un livre puissant qui coûte 27€, pas assez d'argent, un couple perdu qui pousse leur vie (un môme et un caddie sur-chargé) dans ces rues qui brillent par l'absence de la grande distribution alors que l'on peut y contempler quelque 'pubs' offrants des voyages 'bon marché' en avion aux destinations ensoleillés et promettant des belles et souriantes hotesses, des rues stigmatisées par une exploitation ouvrière à outrance, un couple plus romantique que le précédant s'embrasse sur une chaise de bois et béton à proximité de la vache et de lopins de gazons mourant car prévus pour des terrains de golfe bien arrosés, des immeubles en quasi-ruines arborent 'digicodes' et linge aux fenêtres et moi, qui viens écouter une conférence qui paraléllise sexisme et racisme en moins de 20 minutes dans une salle majoritairement emplie de femmes quadragénères contrastant brutalment avec les hotesses très sérieuses des archives départementales.
Le Soleil est la ville pas plus que la violence non physique which permeates its bloody streets. Oh my!
Loca luna? Arbeit macht frei!
François
sábado, 14 de marzo de 2009
React: Save Patagonia!!
Please watch it and support what I call the most beatiful region that I've ever seen (yes, even more beautiful than Grenoble).
Save one of the last Ecosystems, where human presence is still not that far from equilibrium with what I call "the rest of the Universe".
Besos
Dan
viernes, 13 de marzo de 2009
Les medias et la crise - F. Lordon
Frantz, si tu sais comment mettre cette video directement tant mieux.
Dan
martes, 3 de marzo de 2009
Store Wars
Marrante petite video. Les soustitres sont lamentables, mais bon, vous comprenez l'anglais, don't you.
Biz
Dan
sábado, 31 de enero de 2009
viernes, 2 de enero de 2009
J. A. Caro & DeAeNe
La escena consiste en dos columnas y dos actores, una mujer y un hombre. Las columnas representan separaciones de cada uno de sus mundos. Entonces, el hombre viene por detrás de una columna, mientras la mujer de la otra. Imaginando. Imaginando un musical, estas dos personas se enamoran a primera vista. De fondo, música 4568 de la cual se cuelgan para bailar, e intercambian con monólogos separados palabras que van formando:
- Alex ?
- Ouais ?
Cada personaje lleva un instrumento
F : amour !
H : quoi
F : je m’en vais
H : où tu vas ?
F : il faut que j’aille chercher les clés de la vigne.
H : quoi donc ?
F : personne.
H : il faut qu’on tape le code, sur son ordi.
F : il faut que se soit romantique : « as-tu assez parler », « vas-tu te taire », « sait il que vous voulez que je le tue ? »
H : faut-il que je le redise ? ça recommence, je n’en doute pas, comment était ton passé ?
Après un moment, un fou arrive.